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à fleur de peau....

Page principale - Ecrire un article - Brouillons

Lundi (27/09/04)

je fais supprimer ce joueb...

je crois que je vais abandonner ce joueb... enfin le faire suprimer par Biz après avoir récupéré les articles... à quoi bon, je ne peux mm plus écrire de simples articles sans images sans que je ne m'expose à un qqconque problème !

Je n epeux pas mm choisir la couleur d'écriture pour vous dire...

je metterais l'adresse de mon autre joueb dans un prochain article.

bizou

Ecrit par cathy-, à 16:34 dans la rubrique "écrits".

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Mercredi (08/09/04)

Aïe !

Dsl... J'ai beaucoup de problèmes avec le pc qui a une connexion, à cause d'un virus et aussi de l'accès restreitn par mes parents je ne peux venir que très rarement et puis il y a aussi eu les vacances. J'ai cependant écrit bcp de texte qui restent sur un autre pc et attendent d'être publié. J'ai aussi des problèmes avec ce joueb, je n'arrive plus à y mettre d'images et bcp de liens sur celles-ci ne sont plus valables. Je n'arrive pas à utilsier le nouvelle façon d'envoyer un lien pour l'image, une nouvelle fenêtre s'ouvre, elle est differente de celle qu'il y avait il y a qq mois, si qquns c'est s'en servir j'aimerais bien un peu (bcp) d'aide pour remettre ce joueb à jour. Et puis 'jai du supprimer bcp d'articles qui se "dereglaient" si j'ose dire. enfin je ne vais pas étaler tt les problèmes que je rencotnre avec joueb.com et mon pc. Mais je n'ai aps envie de publier de texte sans images se serait dommage alors si qqun pouvait m'aider....

je vous l'avoue je suis complètement paumée...

sur ce bisous à tous et dsld ecette longue absence.

Ecrit par cathy-, à 11:36 dans la rubrique "écrits" - Mise à jour : Mercredi 15 Septembre 2004, 11:19.

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Mardi (29/06/04)

à suivre

dsl, un peu morbide aujourd'hui...

 

- hé ho ! il y a quelqu’un ?
Je me tue à crier dans cette immense demeure apparemment vide, crier dans l’attente d’une impossible réponse, je suis seule mais j’espère encore sentir une présence.
Je monte les escaliers un a un, impressionner par la grandeur de la maison, je suis mon instinct, là-haut est caché la bête.
Elle m’attend, je ne sais que faire que de lui obéir, elle me dicte chaque mouvement chaque geste, chaque parole, elle me tient comme un pion sur son échiquier, une misérable poupée servant à son profit. Je monte, les marches glissent, des bruits commencent à se faire entendre, encore des femmes torturés, des hommes vidés de leur sang, là-haut, se trouve l’Horreur, il n’y a pas de mot pour le décrire, le chaos, l’anarchie totale règne en ces lieux.
On pourrait croire que le mal se situe en bas, sous terre, en enfer, non le mal aime à être en hauteur, pour observer ses pions bouger sur l’échiquier géant qu’est notre déplorable monde, il se déplace souvent, mais ceux qu’il détient savent toujours où le trouver.

Pas une idée de rébellion ne me viendrait à l’esprit, je suis conditionnée à l’obéissance, au respect total, à l’horreur complète et perpétuelle.
Je monte, puis arrivée sur le palier de la porte, je frappe, trois coups sonores, en réponse le silence total, puis l’on m’ouvre la porte.
Une femme, d’une beauté incomparable, trône au milieu d’êtres infâmes, livides, suceurs de sangs, tueurs, monstres, bêtes…
Les cheveux dénoués, ondulant comme des serpents jusqu’au bas du dos, noirs comme la nuit. Sa peau mate, bronzée partout sur le corps, pas une anomalie n’est à détecter sur ce corps parfait. Ses yeux noirs, envoûtants, charmeurs paraissent changer de couleur en fonction du temps, bleus l’été, noir l’hiver, marron l’automne et verts au printemps.

Sa bouche, fine, aux lèvres pulpeuses est un lieu de perdition pour toutes lèvres étrangères. La taille fine, mais quelques rondeurs malgré tout, rondeurs charmeuses, au niveau des hanches, un ventre plat,  des jambes longues et douces, des pieds joliment sculptés, des bras près à  envelopper de tendresse tout corps prêt à s’y risquer, le portrait en quelques sorte d’une femme reflétant la beauté dans toute sa splendeur.
Mais aussi le mal absolu, seule une goutte de sang perlant sur ses lèvres nous fait deviner l’horreur qu’elle est. C’est la bête. Un monstre, à ses pieds des chiens se chicanent pour un morceau de viande, on peu déceler un bras, une jambe aussi… mais seulement cela… le reste est indétectable, méconnaissable, sûrement les restes de son dîner qu’elle offre à ses chiens.


Elle me sourit, d’un sourire froid, sure d’elle, forte…
Je viens de tuer ma quatrième victime aujourd’hui…Elle est fière de moi… elle le montre…
Elle va me laisser la vie sauve, le temps d’un cours délai avant de me mettre à nouveau à l’épreuve, pour ma cinquième victime…

Ecrit par cathy-, à 09:19 dans la rubrique "écrits".

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I'm not jealous !!!

 

tu es jalouse, avoues…
- Non !! c’est pas vrai.
je boude, une moue désabusée sur les lèvres, tandis qu’il me regarde un sourire vainqueur, des yeux ironiques, il se moque de moi.
- Mais…euh….
je fais la gamine, c’est plus fort que moi, je me retourne lui présentant mon dos, mais lui me prend par la taille, m’embrasse sur la nuque… je frissonne…
- Tu triches !!
- Non, j’argumente.
D’un geste de la main, il me prend par le coup et m’embrasse… J’oppose une vaine résistance au début puis je prend le dessus et l’embrasse avec plus de violence.
Je ne sais pas être douce, voir tendre, ça n’a pas l’air de lui déplaire…
Je mordille son lob d’oreille, il dépose sa main sou mon tee-shirt et me caresse amoureusement le dos. Je ris, je l’embrasse goulûment, petit à petit les gestes se font plus précis, plus accentués sur des endroits sensibles…
Il connaît mes points faibles mais je ne connais pas les siens, il triche continuellement, même délibérément, c’est incroyable !!
Je ne porte rien sous mon tee-shirt et mes seins pointent de désir sous ses doigts lascifs, nous n’iront pas plus loin que de simples préliminaires mais déjà je sens que je vais craquer…
- alors tu es jalouse ?
- pfff… tu dis n’importe quoi !!
- je dois y aller, je t’aime…
- je t’aime aussi…
- on se voit demain ?
- d’accord.
Je l’embrasse dans le cou, puis sur les lèvres, et nous nous quittons, physiquement seulement, car mes pensées sont toujours tournées vers lui.

Ecrit par cathy-, à 09:13 dans la rubrique "écrits".

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Jeudi (24/06/04)

un souvenir...

 

 

La chambre d’ami se situe juste à côté de sa chambre… je sors de la douche, les cheveux trempés me collant au visage, des mèches blondes, parsemés de quelques mèches plus foncés, une serviette enroulée autour de moi, ma peau sent cette odeur de crème que je viens de déposer sur ma peau.
Curieuse, je sors de la chambre qui n’était destiné, le soleil décline à l’horizon, la porte de sa chambre est ouverte. J’entre avec une timidité feinte, il m’entend mais ne dis rien, ne fais pas un geste et je m’approche déposant un baiser sucré dans le creux de son cou, me collant à moitié trempé contre son torse nu. Il est vêtu d’un simple caleçon noir, je promène mes mains le long de son dos, puis redescendant plus bas. je sens qu’il frissonne. Mes mains qui ne sont plus hasardeuses découvre ce corps inconnu, il, pousse comme un râle et se retourne précipitamment me prenant la bouche violemment. Je l’embrasse, je le dévore, ces mains déposés sur mes hanches descendent plus bas, elles se glissent sous la serviette, aventureuses. Il se penche et me glisse à l’oreille :
- je te dois un massage…

Je le regarde, souriant à demi, et m’allonge sur le lit sans le lâcher une seconde des yeux, me retourne et offre mon dos en guise de réponse. La crème, disposé sur la table de nuit, semblait nous attendre. De quelques gestes experts il commence son massage, déposant sensuellement la crème dans tout le long du dos, passant ces mains expertes sur des points sensibles, je frissonne et gémis doucement, quelles mains.
Pis de désir, il s’assoie sur moi, prenant soin de ne pas m’écraser mais faisant sentir sa présence. Ses mains douces caressent ma peau, ne me laissant pas une minute de répit, le désir monte je n’en peux plus. Il se penche et embrasse le bas de mon dos, de baisers langoureux remontant lentement, trop lentement ! Je me retourne et l’embrasse à pleine bouche, entremêlant nos langues, nos âmes en un baiser. La serviette a glissé jusqu’aux hanches, mais je meurt de chaud, ces mains découvrant petit à petit mon corps, touchant des points sensibles, envie de le mordre… Son sexe collé contre moi, transparaissant à travers son caleçon, je le prend violemment mais il s’échappe de mon emprise :
- on ne dois pas, tu le sais, je t’aime…
Il remet la serviette, désespéré tant il me veut, mais il écoute la voix de la raison et moi la voix du désir.

Je dépose un baiser dans son cou et me glisse loin de lui, avant de repartir je me retourne, la serviette glisse… Il me regarde, s’apprête à faire un pas :
- non… gémis t-il…
Il se retourne et j’attrape ma serviette traître, une belle serviette blanche… m’enfuit et rejoint la chambre d’ami.

Cette nuit là, je le sens près de moi, à quelques mètres à peine, j’ai envie de sortir en cachette et de me glisser dans son lit, je sais qu’il ne pourra pas résister cette fois, mais la fatigue l’emporte et je finis par m’endormir, frustrée…

Ecrit par cathy-, à 21:40 dans la rubrique "écrits".

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Jeudi (17/06/04)

Trop de couleur

Bon lors de ma visite de ton joueb, j'ai trouvé qu'il y avait trop de rouge alors avec mon pote leftfield ont mis nos Sun glassessssss......

Et ça va beaucoup mieux

Ecrit par choucroutor, à 20:18 dans la rubrique "écrits".

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Mardi (15/06/04)

Cassie

 

- Cassie je t’en prie ne fais pas ça !
Je la regarde, prisonnier de ses grands yeux noirs, de sa peau nacrée et douce, de ses lèvres  noircis par le flot de sa haine qu’elle déverse sans un mot, lui consumant peu à peu les lèvres devenues noires autrefois si roses et douces.
Elle se tient droite sur la rambarde du pont, les flots sous elles se déchaînent en un tourbillon vengeur. D’un geste rageur elle rejette ses cheveux en arrière et me regarde méprisante.
Telle une poupée diabolique elle accompli son destin.
Elle est terrifiante, son regard transperçant mes pensées et fouillant chaque recoin de mon esprit embrumé.
Elle descend de la rambarde et s’approche de moi un rictus malsain sur les lèvres…
Ma petite poupée pourquoi me fais tu ça….
Sa longue robe blanche l’entourant majestueusement,  tranchant avec la noirceur de ses cheveux et de son regard et de la moue haineuse de ses lèvres tant aimées.
Les fleurs ornant ses cheveux sont devenues noires, autrefois roses et vertes elles étaient si jolies faisait d’elle la plus angélique et la plus gaie des enfants.
De sa bouche ensorceleuse elle libère une étrange mélodie, si pure et belle qu’elle fait trembler les murs autour de nous. Le vent semble répété en boucle cette mélodie au charme inavouable. Je sens le monde autour de moi chanté en cœur avec cette sorcière que j’ai tant aimée…
Je sens la mort se propager en moi, comme si la nature refusait de me faire vivre…
Cette fois la mort aura raison de moi.
Je sens son souffle glacé s’insinuer dans mes veines dangereusement.
Je ne suis que le pantin de Cassie comme tant d’autres…
La dernière image que je vis fut le sourire satisfait de Cassie, les cheveux dans le vent, les éléments se déchaînant autour d’elle, sa robe volant et ondulant dans le vent et ses yeux inextricables…
Cassie ma jolie Cassie que tu étais belle comme je pouvais t’aimer…

Ecrit par cathy-, à 21:53 dans la rubrique "écrits" - Mise à jour : Vendredi 27 Août 2004, 09:19.

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Lundi (14/06/04)

Alassë Elensar

mon nom elfique...



Pour connaître son nom elfique :
http://www.chriswetherell.com/elf/



Pour connaître son nom de hobbit :
http://www.chriswetherell.com/hobbit/

Amusez vous bien ;-)

Ecrit par cathy-, à 22:12 dans la rubrique "écrits".

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De simples gosses...

les ravages de la societé sur les enfants....

Le petit garçon pleurait, ses mains cachant son visage meurtrit par les coups. Son père avait bu ce soir là, et lui, pauvre gosse eu le malheur de lui demander en bégayant ou était maman. Il l’a roué de coup de ceinture, frappant dans tout les sens sur l’enfant recroquevillé, gémissant, pleurant, son père lui disant de  ce taire sinon il frapperait plus fort, et les pleurs redoublaient sous les coups rageurs du père. La détresse, la peur, la honte se lisait dans ses yeux humides, il venait d’avoir cinq ans. Il est mort, ravagé sous le poids des coups, peu après son père se suicida.

 

Ses petites mains potelées appuyées contre les vitres de la voiture, des larmes baignant son visage d’ange, des cris et des pleurs sortaient de sa petite bouche qui d’habitude se contentait de recevoir un petit pouce humide. La mère, retenue par des hommes armés, criait comme une furie en voyant son enfant partir au loin, loin d’elle… Elle hurlait, se débattait, frappait, donnant des coups dans le vide sur ces policiers désappointés, ils finirent par réussir laborieusement à lui mettre les menottes aux mains, puis l’expédièrent dans la voiture de police aux sirènes hurlantes.    Il pleuvait des cordes ce jour là, la pluie frappant le sol comme elle meurtrissait les joues de cette prostituée qui avait perdu son enfant. Le pavé froid, glacé même, avait accueilli les pleurs de la mère et de la fille, se refusant à l’autorité, ne souhaitant que vivre ensemble.
Elle fut placée en foyer d’accueil et ne revit jamais sa mère qui mourut en prison.

 

 

Elle porte le voile, ainsi personne ne peu voir les larmes qui coulent sur ses joues d’enfant. Elle est jeune et déjà soumise a tant de lois, d’obligations. Sa vie gâchée, ne prenant aucun plaisir au quotidien, croulant sous sa religion et sous les mœurs de sa société. Ce jour là elle pleure, pleure comme elle a pleuré hier, avant-hier et même bien longtemps avant.

Elle a existé, mais elle n’a pas vécue. Elle n’était qu’un élément du décor, sa vie sans couleurs, en noir et en blanc. Elle fit beaucoup d’enfants à son mari et fut une épouse soumise et fidèle. C’est à ça que se résume sa vie, sa vie morne et triste, mais que pouvait elle y changer ?

 

Elle tend un bol aux passants, gémissant un inaudible « je vous en supplie » écrasé par le bruit des voitures et des activités alentours. Habillée d’une petite robe sale, d’une paire de collants en laines malgré la chaleur, ses cheveux noirs détachés et crades, ses petits yeux suppliant les passants indifférents elle tente de survivre, de ramener quelque argent à sa mère. Les gens la poussent, les enfants la montre du doigts en criant, les femmes hautaines et riches la dédaignant au passage…

Elle est morte cet hiver, morte de froid dans une ruelle sale et glacée, sa mère l’ayant abandonnée, lâchant ainsi un boulet qui se faisait trop lourd.

 

Elle travaille, éternellement...
Elle est née au travail et elle mourut au travail...

 

Elle et ses frères...

Ecrit par cathy-, à 12:51 dans la rubrique "écrits".

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Mercredi (09/06/04)

plus rien...

Je crois que j'ai perdu mon inspiration...
Partie, envolée...
Quand reviendras tu ?

J'ai envie d'écrire mais mes ébauches ne sont pas assez comme je le voudrais, je n'y peu rien si je suis perfectioniste... mais bon...

Et puis le temps me manque, il fuit, il me glisse à travers les doigts, il court et je n'arrive pas à le rattraper, voilà le pourquoi de ce trop long silence...

Ecrit par cathy-, à 22:19 dans la rubrique "écrits".

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